Un masacre sous les rayons de la Lune ?

Abel et Koinzell venaient d'arriver en ville, elle était comme les autres, elle ecsitait Koinzell et lui donné plus de pouvoir. Plus ils avançaient à l'intérieur, passant de ruelle en ruelle, plus la domination de Koinzelle ce faisait sentir. En effet sans qu'Abel ne s'en doute, prenant ça pour du hasard, Koinzell influé sur les choix de directions à prendre. C'est ainsi qu'ils se retrouvèrent dans une ruelle sombre sentant la mort et le sang, même les lueurs de la Lune avait l'air de ne pas vouloir éclairer cette endroit. Cette rue faisait vraiment peur, Abel commençait à sentir des frissons le parcourir, il en fallait beaucoup moins que ça pour que Koinzell puisse prendre le contrôle de la parole.

Koinzell : C'est à moi de prendre le corps, regarde toi tu trembles. Tu fais vraiment pitié à voir, casse-toi.

Abel: Je ne te laisserai pas prendre le contrôle, tu ne tueras plus personne.

Koinzell : Me fait pas rire, tu es comme moi ! Tu aimes le sang, si je suis là c'est simplement que tu es incapable de l'accepter et tu préfères te cacher derrière moi. Si je pouvais je te supprimerai bien.

Abel: Oui mais tu ne le peux pas. Et tu crois vraiment que je suis comme toi ? Je ne suis pas un fou qui aime tuer les autres...

Koinzell : Non tu es complètement normal, tu parles juste à toit même. C'est vrai que c'est courant quand on y pense. Bon allez on s'arrête là, laisse moi juste tuer quelqu'un, tu verras on va bien se marrer.

Abel: NON

Koinzell : Tu verras elle manquera à personne, et puis se sera rigolo de la voir fuir avec les jambes en moins. Les abrutis qui rampent sa m'a toujours fait rigoler.

Abel: TU VAS TE TAIRE !

Abel venait de faire une erreur, il venait de céder à la colère et c'était suffisant pour que Koinzell prenne le contrôle du corps, ce qu'il ne se priva pas de faire. Koinzell jubilait sur place, pliant et dépliant ses doigts pour bien savourer le faits qu'il était de nouveau libre. Tout en pointant du dois un individu devant lui il ajouta.

Koinzell : Tu vois Abel, c'est cette personne que je vais tuer et bien lentement, juste pour fêter mon retour. Mais ne t'inquiète pas, sa ne sera pas la seul.

Un léger rire sadique s'éleva dans l'air en même tant que Koinzell s'approchait de sa futur victime son sabre à la main.

Koinzell : ohoh, tu as vu sa un peu ? Ce gars ne s'enfuit pas. C'est plutôt inhabituel, tu trouves pas ? Allez répond moi Abel. Non ? Tant pis, de tout façon il va mourir.
De mauvais humeur dis-tu ? Ahaha, moi je suis de bonne humeur, je le pressentiment que je vais bien m'amuser avec toi. Je te laisse choisir quelle partie de ton corps veux-tu perdre en premier ? Une jambe, un bras ? Attention tu ne peux pas choisir la tête sinon c'est plus aussi amusant.

Abel, assistait impuissant à la scène. Koinzell avait l'air plus déchaîné que jamais, il n'éprouverait aucune pitié pour le pauvre homme devant lui. Ce n'était pas la première fois que cela arrivé mais Abel ne s'y habitué jamais, d'une certaine manière c'était comme si c'était lui qui tué toutes ces personnes, et Koinzell ne choisissait jamais de faire vite, il aimait prendre son temps. Mais cette fois il ne se laisserait pas faire, il empêcherait Koinzell de recommencer, il se l'était promis la dernière fois. Mais rien ne se faisait, il n'arrivait pas à reprendre le contrôle du corps, il ne pouvait que parler.

Abel : Koinzell arrête

Koinzell : Mais qu'est-ce que tu fous là toi ? Je t'ai dis de me laisser m'amuser tranquillement. Tu peux pas simplement te taire comme un Bon petit chien ?

Abel : arrête je t'en pris.

Koinzell : P*****., tu as réussis à m'énerver, dire que j'étais de bonne humeur. Par ta faute je vais le tuer maintenant et lentement.

Koinzell chargea l'homme devant lui, tenant son sabre sur le côté droit, puis arrivé à porté tenta de trancher un des bras de l'homme.

Le contact de son dos sur le sol, ainsi que la douleur au niveau du crâne, c'était quelque chose d'inhabituel pour Koinzell. Jusqu'à aujourd'hui il n'avait jamais rencontré quelqu'un capable de le faire tomber. Mais bizarrement cela ne faisait que l'amuser encore plus car il venait enfin de rencontrer un adversaire digne de ce nom, sa changé des enfants. Koinzell se releva le plus rapidement possible, se retourna pour faire face à son adversaire un sourire de dément sur le visage. Un léger filet de sang coulé de son front là où sa tête avait heurté le sol.

Koinzell : On dirait que je vais pouvoir m'amuser et que sa va être un beau combat à mort.

Koinzell se rapprocha doucement de son adversaire puis quand il fut assez près il plongea sur le côté roula au sol de manière à se retrouver sur le côté gauche de son adversaire et en visant le bassin de son adversaire frappa en estoc.

Koinzell, venait une nouvelle fois d'échouer dans sa tentative de transformer son adversaire en petites bous de chaires. Ce n'étais pas amusant, la personne en face de lui était trop forte, ce qui ne laissé à Koinzell aucune chance. Koinzell envisagait de prendre la fuite, quand son adversaire lui fit une proposition dès plus intéressante. L'idée de s'associer lui plaisait, en restant près du combattant il pourrait apprendre quelques technique et donc remporté la victoire dans un combat futur.

Koinzell : J'accepte, mais lorsqu'arrivera la fin de notre alliance, nous combattrons à nouveau.

Koinzell ne laissa pas le temps à l'homme de refuser et enchaîna de suite.

Koinzell : Bon, pourquoi as tu besoins de moi ?

Abel, assistait impuissant à l'alliance de ces deux personnes plus que dangereuse. Rien de bon ne sortirais de tout sa mais la grande question était de savoir le nombre de personnes innocentes qui seraient impliqué.