jeu de piste miteux et plan foireux

Suivant les instructions de la carte remise, non sans difficulté et palabres, par le contact au bar de la fleur rouge le sergent Stark arriva à l'endroit indiqué. Un bout de plage de galets, du côté Yin de la rivière qui séparait en deux la plaine de sang. Plaine qui devait son nom au nombre de batailles sanglantes qui s'y étaient tenuent. Coincé entre le térritoire neutre de Chizume et la mer la plaine était une sorte de zone tampon, un no man's land en les terres de Yin et celles de Yann. Elle aurait était une zone frontalière contestée comme les autres si n'y avait eu la "voie royale" comme on l'appelait, une route qui constitué la plus courte voie de communication entre les capitales des deux ennemis. C'est cette route qui fesait l'importance stratégique et logitique de la plaine, d'un côté les collines ensoleillées de la lumière, de l'autre la sombre forêt de son vis-à-vis. Et entre les deux la plaine et la rivière. Jusqu'à ce jour aucun des deux camps n'a réussis à tenir la plaine. S'il y a bien un vainqueur à la fin de chaque bataille, les pertes subies durant le combat ne permettent pas à l'armée gagnante de contniuer son avance et elle préfère se replier pour préparer la confrontation suivante plutôt que de tenter de tenir une position intenable.

Lorsque les armées ne s'y rencontrent pas la plaine est une plaine comme les autres, il n'y a juste pas de vieux arbres, la nature arrive toujours à panser ses plaie après les conflits.

Stark la connaissait assez bien cette plaine, pas la première fois qu'il y venait. Quand au bout de plage sur lequel il était il le connaissait bien aussi. Son premier combat. Sa première mission, son premier mort, la fin de l'innoccence, le début de la fin.

Cinq an plus tôt c'était, après son instruction son unité avait rejoinds les garnisons près de la plaine, le collines était un vaste camp retranché. Le plan était simple, passer la rivière, écraser l'armée ennemie, limiter les pertes si possible, gagner à tout prix. L'engagement avait été total, les flottes s'affronté sur la mer, au large de la plage, les forces térrestre devait passer la rivière et atteindre la forêt alors que les unitées aériennes se battaient pour la maitrise du ciel. Pour Stark ça avait été la plage, traverser la rivière à marrée basse et prendre à revers les forces l'adversaire et faire la jonctions avec les bataillons qui traversaient la rivière en amont sur des ponts pré-fabriqué et installé au coeur des combats par les génie.
Passer la rivière avait été un jeu d'enfant, humide tout au plus, par contre sortir de la plage ça avit été tout autre chose... Les rensignement ignoraient l'existence des défences qui controllaient l'accès à la plage. 6 heures bloqué sur la plage sous le feu ennemis qu'ils avaient été. 6 heures longues et sanglantes. Et pendant les 4 dernières heures la marrée avait empéchée les renforts d'arriver et fesait patauger les types dans l'eau, rouge qu'elle était devenue l'eau. Puis enfin une petite escadre était arrivée pour les évacuer, trois navires détachés de la flotte pour les faire rembarquer. L'arrivée des navires et surtout de leur appuis feu affaibit finalement suffisemment les défences pour que la dernière tentative "pour l'honneur avant de décrocher et d'embarquer" réussisse à prendre l'accès à la plage. Du coup ce qui restait des forces de l'offensive commença à établir une tête de pont et à envoyer des éclaireurs plus avant dans l'intérieur des terres.
Stark avait fait partie de ces éclaireurs. Sur la rivière seuls quelques ponts avaient été posé, les autres brûlaient et pour chaque pont posé les pertes étaient innombrables, les cadavres formaient des montagnes ça et là, la rivière charriait plus de sang que d'eau.
Finalement la tête de pont progressa, elle lança un assaut vers le pont le plus proche et avec l'aide providentielles d'un dragon qui fit un efficace passage en rase motte avant de se faire abattre par les balistes de Yin le pont fut sécurisé et le génie commença à monter des palissades et à faire des levées de terre pour défendre le point de passage sur la rivière.

La nuit tomba. Du bataillon de Stark il ne restait plus à tout prendre qu'un détachement en état de combattre, le reste était mort ou bléssé trop gravement pour pouvoir se battre.
Et la nuit passa, et les troupes de Yin contre-attaquèrent durement, et les têtes de ponts furent misent à rude épreuve. Le lendemain seul 2 ponts restaient praticables, le reste avait été détruit pour empècher Yin de traverser. La tête de pont de Stark tenu bon malgrès tous les cauchemar de la nuit. Au matin au bas des palissades on ne voyait plus le sol de la plaine sous les cadavres.
Puis ce fut la Journée décisive, la charge, la fuite avant vers la forêt. Les deux armées se mirent en ordre de bataille et après un silence les deux armée se ruèrent l'une sur l'autre. Stark en seconde ligne avec les débris de son bataillon. Ce fut une journée de charge, contre-charge, replis, retraite, escarmouche et redéploiement.
Au soir Yann avait gagné, les forces de Yin s'étaient repliées dans la forêt. Les survivants de Yann établirent des camps sur la plaine. Mais la nuit n'apporta pas pour autant le repos. Yin attaquait et détruisait les camps un par un, profitant de l'obscurité pour jouer de l'effet de surprise et tirer le meilleur partis de ce qui lui restait de troupes valides. Le lendemain les officiers de la lumière jugèrent la position intenable et l'incapacité à porter le combat dans le terrain hostile de la forêt ennemis, propice aux embuscades entraina la retraite. Stark n'avaient pas dormi durant trois jours et deux nuits. Il avait vu sa première bataille et en était revenu. Tout du moins son corps en était revenu. Il avait eu de la chance, il était vivant. De retour en territoire ami il s'effondra sur le premier lit qu'il trouva et dormit durant un jour entier.
Il fallut trois jours pour nettoyer la plaine des cadavres. Stark fut promu et assigné à une nouvelle unité. Depuis il a parcouru du chemin, traversé la moitié du monde, pour tuer et détruire la plupart du temps.
C'est la guerre, ça fait pas rajeunir.

Stark:'Tain! Cinq ans déjà, si long et si court.

Le sergant chassa ces souvenirs, il avait connu pire, mais pas aussi éprouvant que cette fois là. Ce petit bout de plage, ces quelques kilomètres de galets, il y avait quelque part, perdu sous les galets, sûrement emporté par la marrée, sa jeunesse.

Stark:Bon, pas que ça à faire moi, le soleil est encore en route vers le haut, j'espère que j'aurai pas à attendre longtemps.

Le sergent tourna son regard vers la mer, si la marchandise devait arriver, elle ne viendrait sûrement pas de la terre.

Il est des silhouettes que l'on ne s'attend pas a voir à certains endroits et à certains moments mais cette silhouette là était vraiment des plus étonnantes. Une forme élancée aux courbes généreuses marcha dans le sable, foulant du pied les petits grands en jouant avec comme si c'était le vent qui prenait le soin de les faire chavirer de part et d'autre. Les cheveux coiffés avec uen barette, retenant la masse en l'air et le regard fixe et sombre la demoiselle avançait gentillement sur la plage quand elle regarda le soleil. Encore quelques heures avant que son contact arrive. Elle se planta derrière un rocher, invisible, bailla et s'étira. Elle sommnola pendant un bon moment avant que les pas de Stark la réveille. Elle l'observa un instant, voyant qu'il était perdu dans ses pensées. Elle le laissa pensé jusqu'au moment ou elle se releva brusquement et éleva la voix.

"Vous êtes en retard!"

Elle approcha lentement de l'homme et le jaugea.

"Humm c'est vous le contact. Mouaif j'pensais pas que tu s'rais aussi beau gosse! Bon alors qu'est-ce que tu viens foutre par ici?"

Une ombre recouvrit soudain Stark, une ombre qui le surprit et lui reprocha son retard. Stark pensa un instant: "Merde! Comme un bleu!". Le sergent se retourna et la ferma. Une silhouette se détachait avec le soleil dans le dos. Lui avait le soleil dans les yeux. La silhouette s'approcha, Stark fit se déplaça pour ne plus être éblouis, sous le manteau il portait la main à la garde de l'épée. Maintenant qu'il distinguait la nouvelle venue il constata qu'elle était physiquement intelligente. Et qu'elle observait un peu trop à son goût. Elle lui adressa la parole, indiquant qu'il était "beau gosse", elle avait un langage pas particulièrement châtié. Jon répondis.

Stark: Je cherche l'innocence de ma jeunesse, j'pense l'avoir perdu quelque part dans le coin y a cing ans v'l'auriez pas vue?
Nan j'déconne. Et vous, vous faites quoi ici? Vous cherchez des sergents d'infanterie? Pasqu'entre nous l'infanterie c'est pas comme la cavalerie qu'arrive toujours à l'heure, l'infanterie arrivent toujours au mauvais moment.

Le laissant baratiné elle continua de le jauger grossièrement en écoutant la blague de mauvais gout qu'il lacha en début de phrase.

"Hum encore un baratineur, je hais les parleurs. Bon alors écoute moi bien mon chou, tu es là pour quoi? Tu veux du monde c'est ca? T'as besoin d'ami? J'ten filerais des comme t'en a jamais vu mais avant... Ton nom?"

Elle se pencha vers lui posant l'index sur la poitrine en se délectant de la musculature. Le large sourire qu'elle affichait aurait pu être un signe de ce qui suivit... ou pas. Un coup de pied balayant l'homme sur le terrain sableux. le choc sur le sable le fit se redresser rapidement avant qu'elle se mette sur lui à califourchon.

"Hum infanterie hein? Pas très doué pour vous redresser. Suis-je lourde ou seulement trop sexy pour vous?"

Le décolté plongeant qu'offrait la tenue de la demoiselle était des plus dérangeant, probablement que même un gars de l'infanterie serait en train de lorgner dessus alors qu'il croisait peu de femme dans l'armée du Seigneur Yin. Eléa le fouilla de fond en comble sans oublier le moindre recoint. Elle retira ses bottes avec un sourire satisfait.

"Alégé? Je peux enlever plus évidemment!"

Elle détacha lentement le début des habits de l'homme en ayant absolument pas l'idée de le mettre à nu mais juste de le mettre mal à l'aise.

Une fois encore Stark s'était fait surprendre et il se retrouvait maintenant allongé sur le sable avec une chaudasse sur lui. Pas que ça ne lui déplaise mais il n'avait pas vraiment le temps. Le sergent secoua la tête comme pour se sortir d'un mauvais rêve puis tout en gardant son expression niaise envoya d'un revers de main du sable dans les yeux de la demoiselle.
Sans attendre le résultat de sa manoeuvre, de son autre main il attrapa l'épaule de la fille et la désarçonna. Profitant de la surprise et peut-être de l'aveuglement de l'adversaire il se redressa, se mit à genou, attrapa la fille et la retourna à plat ventre, face contre le sable. Et pour faire bonne mesure, en tant qu'habitué de ce type de manoeuvre, et abusant de sa force physique supérieure il attrapa les deux poignets de la fille, les bloquant d'une seule main dans le dos de cette dernière. De sa dernière main libre il prit la tête de la fille par les cheveux, le plus près possible de leur racine et lui redressa la tête. Il lui raconta calmement à l'oreille:

Jon Stark : Finit la déconne, j'ai du boulot. Alors parlons affaire tu veux bien. Je suis le sergent Jon Stark, infanterie moyenne du seigneur Yann, détaché en mission spéciale de recrutement et extraction. J'aurai bien voulu passer un peu plus de bon temps avec toi mais là j'ai vraiment du boulot alors de deux choses:
Soit t'es la personne avec qui j'ai rendez-vous pour la boulot.
Soit tu me débarasse le plancher.

- Tsss... C'est vraiment pas une manière de traiter les dames, sergent de seconde zone...

Lucas venait de prononcer ses mots du haut d'une falaise sur laquelle il regarda la scène, avec un demi sourire. Tout en faisant un saut de l'ange, il descendit de la falaise, et atterit les deux pieds joints, et les bras en croix.

- Si j'avais su que tu ferais autant de dégats, je ne t'aurais pas laché dans la nature ! Mais bon, j'ai surestimé tes instincts de légionaire mâle.

Souriant, il fit signe à Jon de lacher la fille.

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HRP : Je suis désolé, je m'incruste ! ^^

Stark tourna la tête vers le nouveau venu, ce dernier souriait et lui fesait signe de lâcher la fille. Jon lacha les cheveux de la fille, ramassa son épée,se redressa et mit sans ménagemment la fille debout, mais maintint sa prise sur ses poignets. Son épée bien main, menaçant la jeune demoiselle, il s'adressa au nouveau venu d'un air dur:

Jon Stark Qui t'es? Et c'est qui elle? Et d'où tu me connais pour tutoyer?

Le sergent ne pouvait pas sentir le nouveau venu, ça sentait l'embrouille, le truc pas net...

Retournement de situation attendu et plutôt désagréable, Eléla détestait devoir joué les minettes faiblardes mais pour une fois elle avait été prise par surprise. Se recevant la poignée de sable en pleine figure le rélfexe fut de clore les yeux à la vitesse du cheval au galop express. Plaquée ensuite contre le sol et fermement maintenu par les poignets elle toussa dans le sable, récuppérant sa respiration.

Avant qu'elle rétorque apr un violent coup de coude dans les côtes Lucas fit son appartition lui demandant de cesser ses violences et ses menaces. Stark ne semblait pas le reconnaitre mais obtempera en lachant les mains de sa "prisonnière".

"Je suis le contact que tu recherche et lui c'est lucas, il t'a mené à moi."

Elle regarda Lucas lui faisant signe de descendre à leur hauteur.

Au vu des insignes, qu'il remarqua enfin sur la bourse, Stark libera les mains de la fille, il se contenta de dire d'un ton sarcastique:

Jon Stark: Ah. J'y suis, le connard véxé du bar! oh allé, avoue que t'es déçu que j'ai pas marché. C'est vrai que j'aurai pus m'amuser plus mais j'ai trouvé ça d'un vulgaire. Puis les blagues c'est comme les jupes, plus c'est court mieux c'est. Ah oui désolé, j'oubliais que la magie c'est tellement bien pour lever la minette que toi ça t'étonnerai pas de faire sauter dessus par une chatte en chaleur.

La fille parla, elle fit un signe au nouveau venu d'approcher. Stark enchaina d'un air toujours aussi sarcastique, vu que cette mission continuait toujours de lui porter sur les nerfs. Saleté de services secrets.

Jon Stark: Désolé, j'ai pas la mémoire des noms, ni des visages d'ailleur. Vous savez ce que c'est dans l'infanterie, on a tendance à voir beaucoup de copain et de petits nouveaux mourir. Pas retenir les nom ça aide à passer plus vite à autre chose. Non mais sérieusement, par combien de contacts j'suis sensé passer? Si ça continue ça va être pire que l'administration. L'emmerde c'est que l'administration, comme les missions sous couverture ça me gonfle vite. Et quand ça m'ennerve j'ai tendence à être comment dire? Con et brutal. Alors va essayer de faire ça vite hein? Où est la marchandise? Et plus de blabla, de torche-balle magique et de jeu de pistes, j'en veux pour mon argent et vite.

Le sergent prit un air exaspéré, légèrement menaçant de type dont la patience n'est vraiment pas la vertu première et attendis la réactions des deux autres, espérant avoir fait accélérer le processus. La négociation et la parlotte n'étant rééllement pas à son goût, d'autant plus que le fait d'être seul en territoire hostile le rendait nerveux.

"Pfiou vois tu ca, il devient con et brutal. ET MOI JE VAIS T'EN COLLER UNE SI TU RECOMMENCES A ETRE SOULANT. Bon nous disions?"

Elle hurla sur Stark, cela ne l'impressionerait pas mais cela évita au dit capitaine de se manger une roustre impardonnable par un contortionniste pro dans le corps à corps. Reprenant une préstance de façon fantastique Eléa sourit et jaugea Stark à nouveau.

"Bon allez on va voir ce que tu vaux. Pour qui tu taf hein? Yann? Jusqu'où jouerais tu le petit toutou de l'armée? Avant de m'énerver et de me dire que tu veux tes infos va falloir prouvé que t'es fiable mon grand."

Eléa le fixa et commença à marcher en cercle autour de lui en lui posant mainte questions sous l'oeil attentif de Lucas. Elle exposait des situation où Stark n'avait pas d'autre choix que d'obéir à son coeur ou d'obéir à l'armée. Et Stark obéissait à l'armée à chaque fois.

"Et si vous aviez un membre de votre famille proche faisant parti du clan ennemi pour on ne sait qu'elle raison. Que faites vous si il est face à vous suppliant de lui laissé la vie sauve?"

Des questions, encore, au moins maintenant elles avaient un sens. Et surtout elles étaient posées de façon directe. Des choix, moraux pour la plupart. Mais des choix que le sergent ne se posait plus depuis longtemps. Il répondait du tac au tac, sans prendre le temps de réfléchir. Il connaissait les réponses pour les avoir mis en pratique. Puis vint la dernière question.
La question sur la famille. Stark n'en parlait pas mais il n'avait plus d'autre famille que son unité. A la fin de ses deux première années de services il avait été renvoyé à la vie civile et était rentré chez lui. Ça s'est mal passé. Les gens ne comprenaient pas, sa famille, ses amis ne le reconnaissaient pas. Puis les cauchemars, ils le poursuivaient depuis qu'il était arrivé au village. La guerre l'avait changé. D'une certaine façon il n'en était pas revenu. Deux mois après son retour il reprenait son barda et quittait définitivement le village, sa famille et sa vie d'avant. Au final pour ceux du village il était mort.

Jon Stark: Tout personnel ennemis sera traité conformément aux ordres de mission. Si la capture du personnel ennemis est possible le dit personnel sera désarmé et entravé en vue d'obtenir des informations. Si l'ordre de mission spécifie pas de prisonniers le personnel ennemis sera passé par les armes. Là d'où je viens on meurt comme tout le monde, j'ai déjà tué, je peux le refaire.

Stark avait répondu sans hésitation, il se tenait droit et regardait fixement devant lui, comme devant un supérieur hiérarchique, attendant la question suivante.

Encore l'autre, il commençait à vraiment exaspérer Jon celui là. Stark répondis sèchement.

Jon Stark: J'en sais rien, mais j'ai confiance en les membres de mon unité. On n'intègre pas notre régiment comme ça. La confiance ça se gagne. On se couvre tous, on laisse jamais personne dérrière, si t'attaque un des notre tu nous attaques tous. J'ai dit que j'étais dans l'infanterie. J'suis chez les repris de justice, vous savez ceux à qui on a promis la liberté si ils survivaient à 25ans de guerre, quel que soit les crimes. Ben notre liberté on la veux dans un monde en paix. On n'est pas des enfants de coeurs mais on a une fierté et des principes.

Stark lança un regard lourd de menace.

Jon Stark: Remet encore une fois en doute le régiment et je te promet que mission vitale ou pas je te tue sur place.

Le comportement du sergent montrait qu'il n'hésiterai absolument pas à mettre sa menace à éxécution.

Elea fixa la scène écoutant attentivement chaque réponse que Jon donnait, puis à force de savoir tel et tel comportement elle se doutait qu'il pourrait être fiable. Lucas intervint cependant, la relayant. Elle le laissa faire mais émis un bémol lorsque les deux corps bourrés de testostérone demandait la violance.

"Nous ne sommes pas là pour ca! Lucas, il suffit, inutile de donné dans ce panneau. Quand à vous Jon évitez de nous sous-estimer. Votre lieu de rendez vous sera la sortie du CHateau de Chizume. Vous n'êtes probablement pas sans savoir que c'est là bas que vous trouverais les probable survivants d'un lieu dit maudit. En réalité il regorge de monstres et de concurrents tous les plus horribles les uns les autres. Au sortir de ce gigantesque champ de bataille vous pourrez vous délecter des possibles survivants."

Elea se rapprocha de Lucas posant sa main sur son torse en l'obligeant à se tenir trnaquille. D'un oeil vif elle fixait Stark, toutes réactions seraient observées et anticiper pour éviter les problèmes.

Cette fois ça y était, l'homme bizare c'était mis à rire comme un dément. Déjà que Stark le trouvait pas net, maintenant il en était sûr, le pauvre homme était complétement à la masse. A croire qu'il avait vraiment envie de se battre et aimait ça. Une sorte de psychopathe finis en somme. Les services secrets c'est vraiment le grand n'importe quoi se dit Stark.
La fille calma Lucas. Et elle se décida enfin à parler. Mais ce qu'elle dit laissa Stark sur sa faim et il répondait d'un ton agacé.

Jon Stark: C'est une blague? J'me suis pas tapé tout ces kilomètres dans la pampa pour ça? J'suis pas sûr non plus que mes supérieurs aient payé pour avoir la page des événements folkloriques dans le journal local.
Si j'veux ramasser de l'éclopé de seconde main je connais plein de PMUs et j'peux même élargir aux bars tabacs. Non franchement j'ai lu le journal je suis au courant de ça, le chateau et tout mais vraiment là... J'suis sur le cul.

Vous me dites de pas vous sous-estimer mais bon là j'suis pas convaincu. Pasque si je résume bien, en gros, ce que vous me dites c'est d'aller me pointer à la porte de dérrière de l'arène et ramasser les éclopés qui en sortent? Ch'tain! J'aurai pas deviné tout seul! Merci du tuyau ouais! Estimez vous heureux que je demande pas à être remboursé.

Le sergent ramassa ses affaires et s'éloigna en tournant le dos. Dos au soleil pour guetter les ombres des deux autres tout en grommellant et en râlant.

Jon Stark: Dans la famille Ser-a-rien je voudrais le boulet et la bouffonne. Merci du cadeau, la troisième page du journal, tu parles d'un tuyau ils croyent qu'on sait pas lire ou quoi? 'tain les jeunes de nos jours, n'importe quoi! Ca vous fait chier à tourner autour du pot pendant trois cent ans pour vous filer ce que tout le monde raconte au marché. Me fait perdre mon temps, ils feraient mieux de retourner au bac à sable. Comme si des estropiés traumatisés ça m'intéresserai! Prennent plus assez de baffes dans leur guelle les jeunes de nos jours, pensent qu'a baiser et chercher la merde, j'vous jure... Bon pas tout ça mais j'ai encore du chemin moi, va bien falloir que je ramène des types pour les instructeurs moi sinon j'vais me faire engeuller.