Arrivée à la Porte Nord

* Innyatima peinait un peu à se concentrer. Elle avançait avec peine dans la foule sans quitter Maedhros des yeux, la masse qui s'engouffrait à travers les portes l'empêchait de le rejoindre... Ce qu'elle pouvait haïr les gens qui s'arrêtent brutalment en pleine foule juste devant elle !

Enfait, que l'on s'arrête ne la dérangeait pas, après tout, ils attendaient peut être leur coéquipiers, mais là, cela l'agaçait au plus haut point, car elle avait peur de perdre Maedhros... Heureusement il semblait l'attendre. Elle eu un sourire bref en le rejoignant, puis apreçu au loin un combat qui s'engageait pour la jeune fille de tout à l'heure et Imer. Apparemment, la jeune femme n'avait aucuns besoin d'aide... Restait à voir Imer.

Elle bascula sur sa hanche droite avec le poing, presque appuyée sur Maedhros.*

Innyatima : Hey, Maedhros, tu crois qu'on aura aussi des poivros à combattre ?

*Ainsi Innyatima et lui s'étaient vu téléportés non loin du groupe de Yavië... qui entamait son premier combat, abandonnant un de ses adversaires au pauvre Imer... Maedhros la regarda se battre un instant. Il la trouvait fourbe, traitresse : elle faisait semblant d'être en difficulté pour forcer son adversaire à avoir trop confiance... Innyatima lui demanda s'ils auraient aussi des poivrots commes adversaires, il lui sourit.*

Maedhros : Vu la dégaine de la plupart des participants, je dirais qu'il doit y en avoir une bonne moitié qui passe leur journée à écumer les bars... Donc ça ne m'étonnerais pas que l'on tombe sur quelques-uns d'entre eux. *Il regarda à nouveau Yavië, elle retirait calmement Tisse-lumière du corps de l'alcoolique, l'odeur du sang se répendit aux alentours.* S'ils restent assez longtemps en vie pour nous rencontrer...

Maedhros : S'ils restent assez longtemps en vie pour nous rencontrer...

* A peine avait il dit cela que deux autres energumènes arrivèrent au pas de course en hurlant. Innyatima poussa Maedhros et en pris un de plein fouet. Elle tomba sur le sol après un petit vol plané. Elle jeta un oeil rapide autour d'elle. L'un des deux guguss qui venaient d'arriver avait prit Innyatima pour cible et fonçait vers elle. Innyatima prit appuis sur ses mains et se releva. *

Innyatima : C'est pas possible, ça...

* Elle souriait interieurement, mais faisait mine de souffrir. Elle prit une de ses lames et attendit que son adversaire s'approche d'elle. Elle pris appuis sur une de ses jambes en pliant le genou, comme si elle avait mal. Ne jamais foncer, fixer sa peur et ses ennemis jusqu'au dernier instants, attendre une faille, une faiblesse, une ... *

Innyatima : ouverture... !

* L'âne baté en face venait de lever ses deux bras pour la frapper avec son marteau. Elle attendit qu'il arrive à quelques pas, glissa sur le coté - à la surprise de son ennemi - et lui ouvrit les cotes. Il hurla, de rage et de douleur, et fit volte face... pour se planter les jugulaires sur la seconde arme de poing d'Innyatima. *

Innyatima : Vulgaire...

* Elle le laissa tomber au sol et recula. Elle cherchait des yeux Maedhros.*

*A peine avait-il fini de parler que deux participants leur fonçère dessus. Innyatima poussa Maedhros et fut percutée par l'un des deux assaillants. Maedhros la regarda un bref instant, elle se releva. Tout allait bien... pour le moment. Pris à part par l'un des deux participants, il se concentra sur le combat. Son adversaire était armé d'une épée et d'un bouclier et semblait dissimuler une armure sous ses vêtements. Maedhros du cesser ses investigations pour éviter un peu maladroitement une attaque de la brute qu'il affrontait. L'assaillant sourit et attaqua à nouveau, Maedhros sortit sa dague et le coutelas de Hyou d'un mouvement et para l'attaque avec ses deux armes. L'autre n'en paru pas trop surpris et degagea sa lame pour lui asséner un autre coup, que Maedhros esquiva encore. Ce petit jeu continua pendant un petit moment, en fait il dura jusqu'au moment ou Maedhros se réveilla pour de bon. Il para violement un attaque de maniere à repousser son adversaire. Il ferma les yeux une seconde, pendant que son adversaire reculait sous le choc, et un léger courant d'air envahi le labyrinthe. Il rouvrit de yeux presque blancs et attaqua et regarda son adversaire dans les yeux lors de l'assaut et pris la parole d'un ton calme.*

Maedhros : Ne me sous-estime pas. Si je suis ici, ce n'est pas pour me faire abattre par des brutes sanguinaires sans autres objectifs dans la vie que la gloire et l'argent. *Il attaquait rapidement et sans relache, ménageant néenmoins le coutelas d Hyou.* Si je meurt, tu auras à affronter mes camarades... et ils ne sont pas aussi faible que moi !

*Maedhros lui porta un violent coup au buste avec sa dague au reflet rougeatre. La lame ripa sur l'armure que l'adversaire dissimulait. Maedhros du reculer pour éviter une contre-attaque plutot violente de son adversaire, hilare*

Combattant : Si tu me crois aussi faible, pourquoi chuis toujours en vie ! *Il éclate de rire, sans pourtant baisser sa garde.* Tu me crois trop stupide pour ne pas me ramener dans ce truc sans armure ! T'es vraiment naïf ! T'as pas de chance que la sortie sois pas indiquée, sinon j't'aurais ptet laisser repardir chez toi en chialant ! Et puis ta remarque sur tes camarades c'est aussi valable pour moi, tue moi et mon pote viendra te saigner ! *Maedhros regarda vers Innyatima et lui sourit.*

Maedhros : Bien... je suppose que ça va être dur pour lui, vu la quantité de sang qui lui sort du buste et du cou... Quand à ton armure... tu la dissimule mal, le seul problème que j'ai eut la concernant, c'est que j'ignorait de quel type elle était. *Il lui sourit légèrement.* Maintenant je sais... C'est une bête armure de maille, avec des manches courtes et un col plutot ouvert, juste de quoi protéger le torse et le dos. De plus je peu affirmer que tu ne porte que ça comme "protections" et j'ajouterais au passage que soit elle est très mal faite, soit elle n'a pas été faite pour toi. *Il sortit une petite bourse de son manteau.* Comme tu l'as dit, ici il n'y a pas de sortie indiquée... je vais donc être forcer de te tuer... *Le ton de sa voix devint un peu rauque, un peu triste.* Je vais commencer par te prendre ta vue... seulement pendant un instant... probablement le dernier. Désolé.

*Il ouvrit la bourse et laissa se déverser au sol son contenu qui était du sable fin, presque de la poussière. Son adversaire perdit son sourire, flairant une embrouille. Le tas de sable se mit à onduler, des grains commencèrent à s'envoler. Maedhros ferma les yeux, laissant sa brise prendre la place de son regard. L'adversaire ne bougeait toujours pas. Très vite le tas de sable avait disparu. A sa place et dans les air il y avait un tourbillon de sable. Maedhros chargea, précédé par le léger tourbillon. La brute para la première attaque. Le sable commeça sontravail d'aveuglement, obligeant l'homme à cligner très vite des yeux. Il para les deux frappes suivantes sans trop de problème. La troisième lui posa plus de problèmes, mais pas seulement à cause de ses yeux : il avait un peu de mal à bouger les épaules. Affolé, il se rendit compte que le sable s'était incrusté entre les mailles de son armures et rendait ainsi chaque mouvement plus dur. Il se mit à hurler de rage, ignorant le sable qui lui rentrait dans sa bouche. Il hurla ainsi à peine plus de trois secondes, juste le temps qu'une lame de coutelas lui tranche la gorge, le faisant taire à jamais.*

*Maedhros resta immobile un instant après son coup et regarda son vent tourbilloner dans le couloir. L'image était presque poétique : dans la lumière blanche venant d'on ne sait où du labyrinthe sa brise avait pris une couleur rouge-dorée du fait du sable et de goutellette du sang des vaincus. Il ferma les yeux, sa brise rassembla le sable en un petit tas au sol, lui même se secoua pour se débarasser du peu de sable que ses habits avaient emmagasinés. Il remit lentement le sable, ayant maintenant une teinte un peu plus rougeatre, dans sa bourse et se releva, l'air un peu perdu. C'était la première fois qu'il tuait quelqu'un. Il regarda son adversaire et commença à penser à son éventuelle famille et... il secoua sa tête : il ne fallait pas penser à ça ! Il allait surement avoir à tuer d'autres personnes, il ne fallait pas penser à leur vie, il ne fallait pas regrêter, ou bien ce serait lui, Maedhros Ionis, qui mourrerait ! Il se tourna vers Innyatima et lui sourit faiblement, le teint pâle. Elle, elle était forte. Elle n'avait pas l'air émue par le fait de tuer. Il l'enviait un peu. Et, bizarrement, celà le rassurrait un peu, que l'un d'entre eux n'ait pas la faiblesse de craindre de tuer.*

* Maedhros lui souriait... *

Innyatima : J'aime beaucoup ta technique de combat... Ton adversaire était collant...

* Son compliment était sincère. Cependant... Elle essayait de ne pas penser au deux personnes allongées devant elle, sans vie. Elle avait déja tué des gens, mais jamais de sang froid. Bon, il est vrai que c'était un cas de self defense... C'était elle ou eux. Et franchement, si elle avait perdu, quelle honte... Mais si elle avait juste eu de la chance ?
Elle essuya ses lames sur ses vêtements déja ruinés par l'eau et le sable. *

Innyatima : Tu crois qu'il y en a d'autre ?

* Elle regarda rapidement Maedhros, puis dans la direction d'Imer et la jeune femme... qui étaient apparemment partis. *

Imer, malgré tout ce qu'on peut croire, n'est pas si bête que ca. Les gens pouraient dire aisément qu'il est "gentil", mais, cependant, s'il a gardé une grande partie de la naïveté chaebecke, et leur peu de perspicacité que l'on trouve chez ces petits hommes (car ils ne sont pas habitués à une vie... inhabituelle), ce chaebeck là, pour arriver aussi loin de son pays dans une ville telle que Chizume, et être encore en vie, est différent. Imer sait s'adapter. C'est d'ailleurs pour cela que lui est venu cette curiosité de jeunesse qui l' poussé à voyager. Imer sait s'adapter, et c'est pour cette raison qu'il a pu se maîtriser lorsque Yavië transpercait son adversaire. Et pourtant, Imer, cette fois, a bravé les règles du jeu. Il avait immédiatement relevé toute l'horreur de ce qui se passait ici, les gens qui combattaient dévorés par leur flamme intérieure, leur faim de victoire insatiable, la recherche d'eux même, l'appat du gain, et tant d'autres raisons tristes de gens mal dans leur peau. Il ne doutait même pas de l'existence d'ignobles spectateurs ici invisibles, d'autres cas psychologiques désolants à régler. Il venait de décider de faire arrêter tout cela, et sans effusion de sang.

Pour cela, deux armes : la menace de son couteau et son éloquence. Il utilisa la première, puis la seconde sur la personne qui avait atterri à ses pieds. C'était un monsieur manifestement soûl, qui devait rechercher ici une certaine forme de reconnaissance. Imer releva l'homme par les cheveux, enfin relever, plutôt sur les genoux, de manière à ce que le couteau qu'il avait aussitôt sorti de sa poche se retrouve contre le cou encore intact de "l'adversaire". L'autre n'avait plus de liberté de mouvement que des bras, qu'il bougea instinctivement vers son cou avant de s'arrêter, certainement en train de se demander pourquoi on ne le tuait pas.

Imer : Bras contre le corps, maintenant. Il avait parlé de manière très posé, imperturbable : il était furieux. L'autre s'éxecuta rapidement. Bien, restez comme ca, je peux vous tuer de ma seule main gauche, et vous le savez très bien. Bien, je vous désarme.Et il retira sa main droite des cheveux de l'ivrogne pour dégainer l'épée qu'il portait sur lui, et la jeta à deux bons mètres.Voilà, relevez vous et regardez juste un instant votre coéquipier, enfin son corps. N'essayez pas de tenter quoi que ce soit ou vous finissez pareil. Vous avez compris ? Asseyez vous.Imer parlait du ton le plus autoritaire qu'il pouvait. L'autre obéit. Manifestement, la mort de son camarade ne le choquait pas, mais il semblait un peu révulsé par l'odeur du sang déjà bien répandue. Imer aussi, d'ailleurs, mais il voulait se montrer comme le chef, donc il se maîtrisa parfaitement. L'homme s'assit et le marchand reprit :

Bien, maintenant, j'ai une question cruciale à vous poser : Qu'est ce que vous faites ici ?

Yavië regardait la scène d'un oeil visiblement intéressé, mais elle se garda d'émettre un avis et elle surveillait aussi les alentours. Innyatima et son compagnon, au loin, avaient aussi commis déjà deux meurtres sans être blessés. Cela ne pouvait plus durer. Le type, qui s'etait assis, mis la tête entre ses mains. Deux larmes perlaient au coin de ses yeux -d'un brun très remarquable, tiens. Il ne parlait pas. Il pleurait comme un enfant. Ce que cela peut soulager, parfois, de pleurer ! Mais là, Imer n'allait pas s'attendrir : tant d'autres personnes se massacraient ici sans raison (y a t'il jamais des raisons ?), il fallait aller vite. Imer prit soudain un ton sec.

Imer : Bien, monsieur, je garde votre arme, je vous laisse la vie. Partez, trouvez la sortie, et dépechez vous : d'autres seront moins sympathiques que moi.

Il acquiesca et murmura un merci un peu noyé d'émotion.Le pauvre bougre fit une ébauche de mouvement pour se relever. Mais n'acheva même pas son geste : visiblement, aux yeux des spectateurs, l'homme désarmé et qui n'a plus la volonté de se battre est un homme mort. Celui-là, en tout cas, eut une fin rapide : une flèche venue de nulle se ficha tout droit dans son front, et il retomba raide mort. Voilà quelle était la loi de cette arène : tue ou crève. Le vainqueur serait tellement bestialisé en sortant qu'on devrait le tuer pour éviter qu'il soit dangereux pour la societé. Quel était donc le but de cet épouvantable château ? Tuer les plus agressifs ? Faire s'amuser une tranche privilégiée inconnue de la societé ? Imer se promit de le découvrir. Il fit part de son point de vue à Yavië... et, même s'il ne le savait pas encore, à Améron, donc au final à Yann...

*Trois choses surprirent Yavië : Imer, la flèche venant de nulle part et le combat de Maedhros. Les deux dernières trouvèrent rapidement leur explication : en résumé, pas d'abandons et le jeune homme s'était entrainé dur. La première était plus complexe. Qu'Imer fut désorienté par la téléportation et la charge des deux brutes, rien de vraiment surprenant. Qu'il maitrise son adversaire sans violence et décide de l'épargner, passe encore. Mais qu'il arbore un air totalement horrifié en voyant ce dernier mourir, c'était déjà plus étonnant de la part d'un grand guerrier à l'expérience et à la puissance remarquable. Yavië se mit à réfléchir à toute vitesse, repensant aux paroles d'Imer. Visiblement, il ignorait ce qu'il faisait là. Elle se repassa les paroles qu'il avait eu avant l'ouverture des portes : il était un spécialiste du Kraal... du Kraal... Le déclic s'oppéra en Yavië, celà expliquait les termes "routine" et "amuser" qu'il avait utilisé ! Le Kraal dont il parlait à ce moment était en réalité non pas un art martial mais un jeu de carte chaebeck ! Yavië soupira : elle avait un peu pitié du personnage, quelqu'un devait lui avoir raconté une sale blague pour qu'il se retrouve dans ce pétrin ! Elle pensa aux points positifs : il était maintenat conscient de la situation et gardait son sang froid. Il vint expliquer à Yavië ses théories sur ce chateau. Elle aquiesça.*

Yavië : Il faudra, une fois au calme, que vous me racontiez comment vous avez pu vous retrouvez dans un pareil pétrin ! Mais pour le moment contentez-vous, s'il vous plait, de rester auprès de moi. Je ferai de mon mieux pour vous protéger. Ceci étant vous voulez surement savoir les motifs de ma présence ? *Elle regarda autour d'elle.* Améron n'étant toujours pas là je pense pouvoir vous le dire sans problèmes : le Seigneur Yann compte élucider les mystères concernant ce chateau et, par la même occasion, recruter quelques soldats d'expérience. La première raison est minime pour le Seigneur Yann, mais je n'ai d'autres choix, visiblement, que de sortir de ce chateau, et donc d'exécuter le premier ordre !

Innyatima : ... Maedhros ?

* Il ne répondait même plus... Etait-ce de sa faute ? Es-ce qu'il la trouvait trop... sanglante ? Cruelle ? Et puis, ho, pourquoi elle devrait se justifier ? ... Elle voulait se justifier, enfaite.*

Innyatima : Je n'aime pas particulièrement tuer... Mais... Je n'arrive pas à me contrôler outre mesure...

* Alors qu'elle disait cela, une flèche lui passa près du visage en sifflant, lui sectionnant une mèche de cheveux, terminant sa course dans le front d'un des assaillants d'Imer et de son amie. Elle réalisa seulement après coup qu'elle aurait pu se la prendre et regarda Maedhros.*

Innyatima : Qui... Qui à envoyé cette flèche ?

*Maedhros était resté silencieux, comme pour faire un hommage aux morts. Innyatima le complimenta, il rougit imperceptiblement mais garda le silence. Il vit Imer, c'était son nom, maitriser son adversaire, sans trop de violence. Maedhros se dit qu'il aurait du essayer de faire pareil. Innyatima commença à s'inquieter de son silence, puis sembla chercher à justifier ses actes. C'était inutile, elle n'en avait pas besoin. Il sourit et se tourna vers elle pour le lui dire mais à l'instant où il ouvrit la bouche il vit une flèche passer près d'Innyatima et terminer sa course dans le front de l'adversaire d'Imer, que ce dernier venait tout juste de grâcier.*

Innyatima : Qui... Qui à envoyé cette flèche ?

*Maedhros réagit à cette phrase au quart de tour, comme s'il s'agissait d'un ordre et un courant d'air parti de Maedhros vers le point d'origine de la flèche, frolant Innyatima au passage. Il ne trouva rien. Maedhros serra les dents.*

Maedhros : Il n'y a personne la-bas... C'est mauvais signe. *Il s'assit par terre.* Je vais essayer une autre méthode d'exploration, protéger moi pendant ce temps, s'il vous plait. *Il sourit à Innyatima, encore une fois.* Vous n'avez pas à vous justifier, le but de ce tournoi, du moin pour les organisteurs, c'est qu'une seule personne survive. Il y aura forcement des morts. *Il ferma les yeux et inspira un grand coup, près à user de son don, puis se ravisa un instant et ressorti sa bourse de sable et versa ce dernier devant lui, au sol.* Pendant que je serai... ailleur, je vais tracer un plan des environ du labyrinthe avec ce sable. Notez le si vous le pouvez. *Il ferma les yeux pour de bon, et murmura à Innyatima seule.* A tout à l'heure, je compte sur v... sur toi.

*Son corps s'affaissa, une brise partit à nouveau vers l'origine de la flèche, mais semblait évoluer avec plus de précision que la précédente. Elle tourna à un angle du couloir et disparue et, sur le sol, devant Maedhros, le sable commença à former, un peu maladroitement au début, un plan des environs, un plan du grand labyrinthe.*

Maedhros : A tout à l'heure, je compte sur v... sur toi.

* Innyatima se sentie perdue, ailleurs, hors du temps et de l'espace un court instant... Il y avait trop de chose qui lui arrivait en si peu de temps... Elle aurait surement explosé si elle avait une capacité émotionnelle d'une petite cuillère et peu de concentration. Elle sortit a nouveau ses dagues "papillon", les enfila à ses poings et les serra par la poignée interne, fortement.

Elle regarda la course que Maedhros effectuait dans le labyrinthe, d'un oeil, et demanda rapidement :

Innyatima : Imer ! Maedhros nous indique le chemin à suivre, pourriez vous le reporter ?

* Son ton n'était ni de l'ordre de la commande, ni du supplice, il était mêlé d'inquiétude et de réjouissance. Inquiétude car si le plan que Maedhros traçait n'était pas reporté, son voyage serait vain, et réjouissance, car elle avait un compagnon d'arme qui lui faisait confiance au point de lui laisser protéger sa vie. Jamais encore cela n'était arrivé... Mais elle prenait toujours gare à ne pas sombrer dans cette euphorie, de peur de ne plus être concentrée. Son regard retourna d'Imer à la carte, puis sur Imer à nouveau.*

Innyatima : C'est tout cela de gagné, pour nos deux duo respectifs ! S'il vous plait...

* Elle sourit, puis fit un tour d'horizon minutieux des environs avec les yeux.

Innyatima : H...hgg...

*La douleur fût fulgurante.

Elle respirait mal, très mal. Son poumon gauche et une partie du cœur avaient été en partie ouverts... Tandis que ses 4èmes côtes gauche étaient devenues de fin éclats qui s'étaient plantés dans ledit poumon. Ses entrailles a présent détruites émirent une odeurs de chairs brûlées pestilentielles.

Sa jambe gauche céda sous la paralysie momentanée du muscle, ce qui la fit chanceler. Elle tomba lourdement sur le dos, le souffle court. Impossible de parler. Impossible de réfléchir. Impossible de se concentrer...

Innyatima venait de prendre une importante décharge de feu dans le corps... Et se doutait bien qu'elle allait mourir.*

*Maedhros, ou plutot son sa forme éthérée, senti quelque chose d'anormal, quelque chose qui venait de déstabiliser sa brise qui dessinait le plan, et vu la puissance de ce souffle parasite, ce n'était surement pas un simple courant d'air. Maedhros fit demi tour et fonça vers son corps, emplis de mauvais présentiments. Il arriva à son corps et le pire de ses présentiments s'était produit : Innyatima gisait, agonisante, le thorax ouvert. Il réintégra son corps. Hurla de douleur. Se rua auprès d'Innyatima, bousculant Imer au passage et ignorant son mal de réincarnation. Il la pris dans ses bras et hurla à nouveau, son esprit sur le point de céder. Il se mit à sangloter, la tête basse, oubliant même le fait que la blessure ne s'était surement pas faite toute seule. Puis il sentit quelque chose d'étrange au niveau de sa main gauche, celle qui soutenait la nuque d'Innyatima. A la fois intrigué et redoutant une autre blessure, il regarda.
Le collier de cuir qu'elle portait habituellement s'était détaché, et, dans la nuque d'Innyatima, Maedhros vit une chose brillante. Sa vision embuée par les larmes ne lui permettait pas de distinguer parfaitement l'objet, mais vu les circonstances c'était fort probablement...*

Maedhros : ...Un éclat de métal ?... D'ou vient-il ?... *Se mord la lèvre inférieure.* Oh ! Quelle importance ?! Il faut le retirer, sinon son cas va encore empirer... si elle va encore assez bien pour permettre ça...

*Il retourna Innyatima avec précaution et se saisis fermement du bout de métal. Il tira, mais ce dernier refusais de venir. Il décida de l'extraire en le faisant touner, espérant que celà fonctionne.*

*Le collier de cuir qu'elle portait habituellement s'était détaché, et, dans la nuque d'Innyatima, Maedhros vit une chose brillante. Sa vision embuée par les larmes ne lui permettait pas de distinguer parfaitement l'objet, mais vu les circonstances c'était fort probablement... Un éclat de métal ? Il retourna Innyatima avec précaution et se saisis fermement du bout de métal. Il tira, mais ce dernier refusais de venir. Il décida de l'extraire en le faisant tourner, espérant que cela fonctionne.

Innyatima bougea. Mais Maedrhos ne pourrait plus jamais la voir comme avant. L'éclat de métal était une excroissance de sa nuque. La chair brûlée sur son ventre laissait voir un corps cybernetique. Une femme d'acier...

Elle le regarda soudainement, comme si sa létargie s'était terminée au moment où la confiance de Maedhors prenait fin.*

Innyatima : Ho non... ! Maedhros.. Ce n'est pas ce que tu crois ! Je suis humaine, j'ai juste... J'ai juste été...

* Elle se mit debout dans un sursault extraordinaire. Elle était fébrile, et surtout, au bord des larmes. C'en était trop... Elle se mit a pleurer sans vraiment savoir pourquoi. Etait-elle anéantie que Maedhros sache qu'elle fut plus qu'humaine ou... plutôt... que Myjasu soit loin, avec une autre élémentariste ? Pourquoi Myjasu justement ? Pourquoi lui ? Il la haïssait, Maedhros était là, pour elle, elle ne comprenait rien, elle ne comprenait plus, sa tête implosait sous le poids de tout ce qu'elle vivait actuellement.

Dans sa tête, jamais n'avait régné aussi grand chaos.*

[ HRP : .. chouette, pas de réponses.. ]

(( HRP : Désolé ! J'ai eu pas mal de chose à faire ces derniers temps... Bon, au lieu de m'excuser je vais poster. [De toute façon là je crois que je suis impardonnable.] ))

*Maedhros resta cloué sur sur place, de stupeur. Le morceau de métal n'avait pas voulu partir, loin de là. Il était resté solidement fixé à la nuque d'Innyatima, comme s'il en faisait partie integrante. Elle se releva soudainement et se mit à prononcer quelque phrases avec une grande confusion. Maedhros les assimila tres lentement et elle laissèrent en lui un gout amer. Le ventre brulé d'Innyatima abritait tout une machinerie métallique, elle était en vérité, au yeux de Maedhros, un robot.*

*Il se releva lentement. Ses sentiment allant de la peur au degoût, avant de se figer presque définitivement sur une deception profonde. Il faillit s'effondrer en larmes : la personne pour laquelle il éprouvait le plus d'affection n'était même pa humaine. Il ouvrit la bouche et commença à bredouiller quelques mots.*

Maedhros : Inny... Je... Enfin tu... es...

*Il s'interompit et resta quelques secondes en arrêt... Et plongea soudainement sur le côté : une espèce de vague de flammes le frola et enflamma une partie de son manteau. Il raterri au sol et s'empressa de l'éteindre. Il oublia instantannément le "Problème Innyatima" pour son concentrer sur son ennemi invisible. La brise se leva à nouveau et blaya les couloirs proches. Maedhros se remit fermement sur ses deux pieds et sortis ses dagues. Il se tourna alors vers le robot et lui parla, d'une voix un peu éteinte.*

Maedhros : Il revient... Comment on procède ?

*En attendant la réponse il se mit à créer des courants d'air de maniere à créer a tout moment autour d'eux un envirronement appauvri en oxygène, histoire que la prochaine attaque enflammée soit un peu moin destructrice... mais à peine.*

[ HRP : Ho, pardon j'ai pas été très gentille dans mon dernier post câlin/cookies ? ]


Jamais elle n'aurait cru qu'une attaque lui ferait autant plaisir. Elle put s'essuier les yeux, ceux ci pleurant amèrement. Elle ne pouvait que comprendre le sentiment de Maedrhos.

Et dire que son corps était ainsi depuis que Tiernan fut tué... et elle grièvement blessée... Mais plus le temps de vivre dans le souvenir, un ennemi présent restait à vaincre !

Innyatima : Il nous faudrait un moyen de l'étouffer sans que nous, nous en subission les conséquences... C'est dans ses moments là qu'un crétin de Myjasu serait utile ! Pourquoi ils sont jamais là ce genre de gens quand on en a bes... C'est passé près !? !!

L'énorme vague destructrice venait de bouger contre elle ! Apparemment, c'était destiné au duo Maedrhos/Innyatima... et cela ne voulait pas les lâcher !

(( HRP : Cookies ? Owiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! [Par contre pour les calins j'ai déjà quelqu'un désolé ] Plus sérieusement ne t'inquiète pas pour ça^^. J'ai vraiment mit le temps pour repondre XD. ))

Maedhros : *Enervé.* C'est quoi cette saloperie ! *A Innyatima.* A ce niveau là, Dame Iwa aurait pû mieu nous aider je pense... Mais bon... On va faire sans !

*La vague revint vers lui, l'obligeant à se plaquer au mur pour l'éviter. La vague le séparait d'Innyatima, ce qui ne le genait pas énormement à présent... ou pour le moment.*

Maedhros : Un sort aussi puissant ne doit pas durer indéfiniment ! Dès qu'il se dissipera il faudra avancer vers la position du lanceur de sort... Et je passe devant ! *Il pris une grande inspiration.* Maintenant essaye de ne pas trop bouger, je vais affaiblir ces flammes, afin de dissiper cette vague au plus vite.

*Sa magie commença son travail tandis que la vague fit encore quelques assauts. Ils durent esquiver en faisant attention à bouger ni trop lentement, à cause de la vague, ni trop rapidement, pour ne pas perturber la brise. Finalement, les flammes s'affaiblirent, puis disparurent subitement, laissant seulement une atmosphère surchauffée. Maedhros bondit vers le bout du couloir, tandis qu'on entendait son adversaire dire des phrases inintelligible dans une langue inconnue, comme une incantation... Maedhros arriva au bout du couloir, se tourna vers le magicien et devint blême. Les mains du magicien étaient auréolée de flammes. Ce dernier donna comme un coup de poing dans le vide et une boule de feu partie, tandis que les flammes autour de sa main droite disparaissaient. Maedhros bondit en arrière assez vite pour éviter la boule de feu... mais ne fut pas assez prompt à se relever et à courir. La sphère enflammée explosa contre un mur, à côté de lui, le propulsant à travers le couloir jusque son point de départ, son manteau en partie en flamme et déchiré sur le côté droit offrant à la vue de tous sa peau parsemée de petites taches rouges, dues aux éclats de pierres, et commençant à envahir de sang sa peau livide. Du sang s'écoulait aussi le long de son front, mais sa tête paraissait indemne.*

(( HRP : Aïe ! Bon, il est pas mort mais fallait que je passe mes nerfs sur quelqu'un ! [Partiels] Et si je le blesse lui, c'est pas puni par la loi ! Et... Euuuuh... OUI je suis sadique ! ))

Innyatima plaça ses bras devant son visage pour se protéger de l'explosion, avant de se se rendre le plus vite qu'elle pouvait vers Maedhros, qui avait été projetté violemment contre le mur d'en face. Elle tomba nez à nez avec leur ennemi. Un magicien, apparemment, en train de ré-invoquer une boule de feu. Un autre participant, ou une épreuve du labyrinthe ? Tant pis...

Elle tenterai le tout pour le tout.

Tout se passa en quelques secondes seulement... Elle sortit de son dos une de ses dague et l'envoya en direction du dit Magicien. La lame fine s'enfonça dans le bras de l'invoqueur, l'obligeant a interrompre son invocation. Elle en profita pour le saisir à la gorge et de reprendre son poignard pour le lui placer sous la gorge.[i]

Innyatima : En...foiré... !!! REGARDE CE QUE TU AS FAIT !

[i]Elle pleurait, oui... La solitude l'avait rendue trop sensible à de nouveaux sentiments... Elle avait envie de tuer cet homme, ho oui, elle en avait plus qu'envie, tandis qu'elle voyait son sang couler le longs de son corps blessé, et que Maedhros se trouvait au sol. La souffrance physique fût oubliée le temps que la rage la gagne.

Mais elle avait une autre idée.

Innyatima : Ou est ton co-équipier ? OU ?
L'homme : *difficilement* Mort... !
Innyatima : J'ai quelque chose à te proposer... Ecoute bien...

Elle se plaça derrière lui, son arme toujours contre la peau de l'homme. Elle lui ordonna d'avancer en direction de Maedhros.

Innyatima : Je me fiche grandement de savoir comment tu vas t'y prendre, mais tu as interêt à ... le soigner...

Sa voix vacilliait... Elle avait perdu une forte quantité de sang, mais sous le coup de l'adrénaline, elle avait oublié un temps soit peu sa situation... Mais sa tête lui tournait...

[HRP : Un pnj ou un perso d'un autre versant serait le bienvenu]

EDIT:PNJ monstre masculin ou féminin??

Monstre ??? On est bientôt morts les deux et tu veux nous coller un monstre ? X3

Un pnj masculin svp ^^

https://yin-yann.1fr1.net/mer-de-larmes-f17/jeu-de-piste-miteux-et-plan-foireux-t115-15.htm#1950

Après une entrevue paticulièrement riche en perte de temps le sergent Stark rallia le chateau. Il s'arrêta devant les murs et commença à chercher la porte de dérrière. Il perdit ainsi encore plus de temps à faire le tour du chateau. Finalement, énervé, il décida, se basant sur le fait q'une porte à deux côtés, de ralier la porte de dérrière par l'autre côté. En passant par l'intérieur. Il passa la porte, fit quelques pas et tomba sur des cadavres.


Jon Stark: Merde! C'est quoi ce bordel...

Stark repris rapidement ses esprits... et entreprit de fouiller les corps. Inutile, d'autres étaient pasés avant lui. Une explosion retentit au loin. Le sergent se releva et chercha le chemin qu'il avait emprunté pour arriver là.

Jon Strak: Chié, perdu... Où tu t'es fourré bordel d'abrutis? Des morts, des explosions, c'est quoi ce bordel?

Le sergent réfléchit un instant. Bon il était perdu. Et alors, ça ne serait pas la première fois. Des morts et des explosions, donc c'était la guerre. Boarf! La mission commençait à partir en jus de boudin. Et alors? C'était toujours comme ça de toute façon, c'était le boulot au final. Se retrouver seul en terrain inconnu au milieu d'une bataille en zone vaguement urbaine. Ah oui! Et perdu aussi. Le boulot quoi, du travail de franc-tireur en quelque sorte. Le sergent sourit.

Jon Stark: Ça devient intéréssant au final. Allons faire mal à l'ennemis.

Jon s'équipa de son bouclier et sorti sa hache. Son visage se ferma, maintenant il devenait la guerre, une machine à tuer lachée en liberté dans une zone de combat, sans autre ordres que tuer l'ennemis, survivre et sortir. Tout ce qui ne porte pas le bon uniforme est l'ennemis.

Il se dirigea vers l'origine de l'explosion, en silence, comme un prédateur chassant sa proie. Une autre explosion retentis, beaucoup plus proche, une odeur de chair brûlée se répendis. Cette fois quelqu'un avait dégusté. Le sergent se rapprocha en silence. Des cris. Des menaces une odeur de sang. Stark jeta un coup d'oeil au coin du mur.
Une personne méchemment bléssée menaçait un autre type, bléssé au bras. Un autre corps était alongé. Pas d'uniforme reconnaissable, des ennemis sûrement. Ils ne l'avaient sûrement pas vu. Le sergent décida d'attendre un peu et d'écouter. Des informations potentiellement utile pouvaient éventuellement être dites. Et puis vu leur état s'en débarasser ne serai sûrement pas un problème. Jon resta à l'affut, prêt à tuer au moindre signe de menace.



[HRP: Désolé... pour le retard et aussi pour la bourinitude. J'pourrais les achever tant qu'ils sont aux 3/4 hors combats? ]

Lorsque l'otage d'Innyatima échappa à celle-ci il commit l'erreur de partir dans la mauvaise direction. A peine eut-il tourné au coin du mur et fut il hors de vue de cette dernière il se retrouva en face d'un homme à la hache levée. Hache qui ne resta pas levée longtemps et Stark put mettre un meurtre de plus sur son ardoise au paradis. L'homme mourut sur le coup, mais ne s'effondra pas, la hache restant coincée dans son crâne. Stark descendit le corps en silence et jura mentalement en débloquant sa hache.

Son méfait accompli le sergent se dirigea vers les deux bléssés graves, d'un pas lourd, sonore et menaçant. Du sang dégoulinait de sa hache. La survivante se releva maladroitement et l'interpella. Il répondis d'une voix grave et profonde.

Jon Stark:Ton destin.

Comme elle était sans arme il s'approcha d'elle, presque jusq'au contact et demanda:

Jon Stark:Veux tu vivre?

Le sergent coucha la fille, lentement, sans se brusquer. Finalement il n'allait pas la tuer. Il examina les blessures et lacha un juron.

Jon Stark: Foutral de chier! T'as pris une boule de feu dans le bide ou quoi?! De la belle saloperie tout cas. Désolé ma grande mais j'le sent mal le coup. Va falloir te battre quand même pasque moi j'suis pas rafistologue.

Stark se débarassa de son manteau, lacha ses armes, retroussa ses manche et chercha son "matériel" dans sa besace. Il sortis un couteau de combat, du fil de pèche, une aiguille, des bandages et un pot de pommade de secour escamoté sur le cadavre d'un infirmier.
Jon jeta à nouveau un oeil à la blessure et se dit que finalement ça serai pas moins con d'enlever son armure et enleva celle-ci à la hâte. Il prit son couteau et se pencha sur la blessure.

Jon Stark:Quand faut y aller...ben faut y aller. De toute façon j'l'ai
toujours dit, si y a pas de challenge, on sait pas ce qu'on vaux.

La blessure pissait le sang, partout, cage thoracique défoncée, des morceaux de ferraille plein le bide. Le sergent distingua une lésion cardiaque, une partie du sang venait de là. Là dessus qu'un truc possible à utiliser, la pommade miracle. Stark aurai préféré ne pas l'utiliser mais bon quand y a pas le choix, y a pas le choix. Le sergent prit au fond de sa besace un petit pot contenant un baume mystérieux. souvenir ramené de deux mois passé dans une chiée de forêt de merde, ils avaient dû en péter des geulles pour le ramener ce pot et ses petit frères; mais ça en valait la peine, le bidule était suffisement magique pour guérir instantanément les bléssures mortelles. Autant dire qu'on ne s'en servait pratiquement jamais. Stark déboucha le pot. trempa un doigt dans le baume et le passa sur le coeur de la fille.

Jon Stark:Ca c'est que j'appelle avoir du baume au coeur. Aha aha. Bon un problème de réglé. Les poumons maintenants.

Des morceux d'os avaient perforé les poumons, une chance extraordinaire qu'ils ne se soit pas remplit de sang sinon c'était la noyade assurée. Avec son couteau Jon retira les échardes d'os puis re trempa son doigt dans le "pot-de-ta-vie" pour réparer les poumons.

Jon Stark:Saloperie de chier d'cul! Y en a qui ont vraiment le cul bordé de nouille. Voyons la suite...

La côté explosée, plus rien a y refaire, de toute façon c'est pas vital. Les autres côtes, une chance ce n'est que fêlé. Les organes internes maintenant...La ferraille est étrange, on dirait qu'elle était déjà présente dans le corps avant, pas comme si c'était la blessure qui l'avait mise là. Après tout pourquoi pas, on peut bien vivre avec de la feraille dans le corps.

Jon Stark:Pfou! Bon maintenant on referme ce sac à viande. Rhaaaaa fait chier! Manque de la peau! Bon ben va faire un peu de magie.

Stark re-fouilla son sac et en sortis un bol et le bloc de charbon qu'il utilisait pour se maquiller et obscurcir ses armes afin d'éviter les reflets métalliques lors d'opérations nocturnes. Il mit le charbon dans le bol et le reduit en poudre avec le manche de son couteau. Puis il remplit le bol avec du sang d'Innyatima. Il passa de la paumade magique sur la lame de son couteau et s'entailla légèrement le bras afin de faire couler un peu de son sang dans la mixture et mélangea le tout avec la lame de son couteau recouverte de paumade.
Quand la mixture eu la consistance voulue il tartina le torse de la bléssée. Et quand il eut finit il banda le tout.

Jon Stark:Bon le reste maintenant.

Le sergent s'attaqua ensuite aux diverses bléssures, plus ou moins profondes, les refermant à l'aide de son aiguille et du fil de pêche et les nettoyant à la paumade de l'armée, celle qui fut récupérée sur le corps d'un infirmier.

Une fois sont charcutage terminé Le sergent se laissa aller en arrière et souffla. Il avait les mains pleines de sang et avait maculé ses vêtement en s'essuyant sur ces derniers. Il s'en fichait, c'était pas la première fois qu'il avait le sang de quelqu'un d'autre sur lui. Il fouilla une dernière fois dans son sac et sortis une bouteille à moitié vide. Il arracha le bouchon avec les dents, en bu la moitié du contenu d'un trait et versa le reste dans sa gamelle et y mit un soupçon de paumade miracle et rangea le précieux pot. Il fit boire à Ynniatima le contenu de sa gamelle. Cela avait un goût immonde, comme de la bouse mélangée à de l'alcool, mais cela répara les organes internes endommagés. Fatigué Stark se passa les mains sur le visage, y réalisant un horrible maquillage de sang humain et rangea son matériel puis se rééquipa et s'installa dans un coin sombre pour attendre le réveil de sa patiente.